Entrepreneuriat au féminin

Pratico-pratique

Vendredi 4 mai 2018
Présenté par
Les statistiques de l’Indice entrepreneurial québécois 2017 révèlent des résultats encourageants sur les femmes en entrepreneuriat. En effet, elles seraient maintenant plus nombreuses qu’avant à passer du « rêve de création d’entreprise » à la « démarche pour démarrer une entreprise ». Portrait de deux femmes qui ont osé réaliser leur rêve entrepreneurial.

Clarisse Fournier a quitté sa France natale et a laissé un emploi en marketing pour faire aboutir à Montréal son projet entrepreneurial avec son conjoint et son meilleur ami. Anne-Sophie Riopel-Bouvier s’est lancée en affaires avec ses parents, tout en poursuivant sa carrière dans les Forces armées canadiennes.

Des entrepreneures qui n’ont pas froid aux yeux

« Les représentations du rôle de l’homme et de la femme sont telles qu’il y a encore beaucoup de préjugés. Mais je suis sûre qu’il y a 30 ans, le taux d’entrepreneuriat féminin était encore plus faible qu’il ne l’est aujourd’hui! », avance Mme Fournier qui, avec ses deux complices, a lancé On Mange Quoi? (OMQ), un service de plats prêts à manger et prêts à cuisiner offerts en machine distributrice. Clarisse Fournier n’a pas peur du changement : la preuve, elle passe de professionnelle en marketing à femme d’affaires dans un domaine très complexe et réglementé.

Fonceuse, Anne-Sophie Riopel-Bouvier fait tomber les clichés un à un. Pilote et instructeur dans les Forces, elle travaille dans le domaine de la sécurité publique. Son entreprise EXO Tactik offre un service de soutien aérien spécialisé en sécurité publique par drone. Comme quoi même la sécurité publique peut profiter des dernières tendances en imagerie.

Pour en savoir plus, consultez l'article complet sur le site de Banque Nationale.