L’expansion à l’international: le balado
Écoutez les avis de trois entrepreneurs de Sherbrooke
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« Au Canada, j’ai un potentiel de 10 000 clients. Aux États-Unis, on parle de plus de 100 000 et, en Europe, de 350 000. Donc, c’est sûr que pour nous, passer d’une petite à une grande entreprise va notamment passer par l’international. »
Étienne Lemieux, SPI Bio
Cela peut sembler plus facile à dire qu’à faire. Quand se lancer? Pourquoi viser d’autres marchés? Comment gérer la distribution et s’adapter au marché? Les futurs entrepreneurs trouveront plusieurs réponses et quelques conseils dans cette discussion réunissant Dragan Tutic (Oneka Technologies), André Gauthier (Agendrix) et Étienne Lemieux (SPI Bio).
Selon Dragan Tutic, s’il est important d’avoir une visée internationale, il est également essentiel de tester le produit localement et d’en tirer des apprentissages. Par ailleurs, prendre de l’expansion à l’international est plus simple pour une entreprise dans le domaine infonuagique ou numérique, comme celle dirigée par André Gauthier, que pour les sociétés du secteur des produits et services. En effet, ces dernières doivent supporter un fardeau plus lourd en ce qui a trait au capital nécessaire pour les équipements et autres frais engendrés par les produits ou services offerts. Toutes les entreprises doivent toutefois s’adapter aux particularités linguistiques et à la réalité de ces nouveaux marchés.
Cet épisode d’Objectif croissance a été réalisé en collaboration avec l’ACET.