Faire son affaire de l’hiver
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AUDVIK
L’entreprise québécoise de manteaux d’hiver Audvik existait depuis 33 ans déjà lorsque l’ancienne athlète de ski Sophie Boyer, à la recherche d’un projet alliant vêtements de sport et entrepreneuriat, l’a rachetée en 2012. Son diplôme en administration des affaires en poche, l’entrepreneure, entourée de sa famille, a pris les commandes de la marque québécoise, dont elle a rajeuni les produits afin d’en faire une marque à la popularité grandissante.
Apprenez-en plus sur le parcours de Sophie Boyer
OBERSON
Alexandra Oberson a grandi en fréquentant les différents magasins de la chaîne Oberson, spécialisée dans les sports de montagne et créée par son père en 1964. Après avoir fait ses armes au sein d’autres entreprises, elle est entrée dans l’entreprise familiale pour y travailler, puis a tranquillement entamé un processus de repreneuriat. Elle est désormais la tête dirigeante des boutiques Oberson et compte bien continuer de développer l’enseigne au Québec et en ligne.
Découvrez l’histoire d’Alexandra Oberson
GIBOU
Sarah Beaudoin était étudiante à la maîtrise en gestion à HEC Montréal lorsqu’elle a lancé Gibou, son entreprise d’accessoires d’hiver tricotés à la main. Suivant le conseil de son directeur de programme, elle en a fait son projet de maîtrise, puis son projet de vie. Elle gère désormais plusieurs tricoteuses qui créent les produits distribués dans plusieurs points de vente et en ligne.
Lisez le billet de Sarah Beaudoin
RAQUETTES GV
Raquettes GV s’appelait Raquettes Gros-Louis avant que Maurice Vincent, le père de Stephen Vincent, rachète l’entreprise et se lance dans la production locale de raquettes en bois et en métal. C’est dans cet univers qu’a grandi et travaillé Stephen Vincent, qui est devenu à son tour président de Raquettes GV. Il continue de faire fabriquer ses raquettes de qualité à Wendake, malgré la concurrence accrue de la Chine.
Découvrez le parcours de Stephen Vincent
RACOON SKIS
Lorsqu’ils ont décidé de lancer leur marque de skis haut de gamme, Jonathan Bourgeois et Sébastien Moquin savaient que la concurrence serait forte, mais l’occasion était trop belle : la vieille presse à portes d’armoires de cuisine, qui appartenait aux Bourgeois et qui pouvait servir à fabriquer des skis, était à vendre. Il ne restait plus au duo qu’à se faire confiance et à suivre son instinct pour créer (au prix de beaucoup d’efforts) un produit à la hauteur de ses attentes… et de celles des skieurs.
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